Historique

Le village de Saint-Julien, anciennement composé d’un grand nombre de quartiers et hameaux, fait désormais partie de la commune nouvelle de Val Suran. Certains aspects historiques concernant l’ensemble de ce nouveau territoire (le Suran et sa vallée, la voie romaine qui le longe…) sont donc traités dans la page historique du site de Val Suran. Mais d’autres sujets concernent spécifiquement notre très ancien village et sont développés ici.

Avant-propos

Il serait injuste de ne pas mentionner avant toute chose le remarquable travail de Marius VEYRE, journaliste et spécialiste en histoire, édité en 1965 par la mairie de Saint-Julien-sur-Suran et sa commission Tourisme et Loisirs, sous la forme d’un fascicule (couverture ci-contre) dans lequel il a été largement puisé pour rédiger ces pages.

Comme M. Veyre le dit lui-même en préambule : « on est pauvre en fait de détails historiques sur cette région du sud du Jura. À l’exception de Gigny, les ouvrages et documents consultés parlent rarement de Saint-Julien et des communes qui l’entourent.» 

Depuis l’époque gallo-romaine (illustrée par la présence de la voie romaine), et bien plus avant, l’histoire des habitants de notre commune est probablement restée longtemps identique à elle-même, en un cycle continu de vie rurale n’ayant pas justifié d’en identifier les étapes par des écrits.

Couverture de l'historique du canton de Saint-Julien

Préhistoire et antiquité

L'Epona de Loisia statuette antique

On ne trouve pas de documentation historique spécifique sur l’histoire la plus ancienne de Saint-Julien. Marius VEYRE avoue même que « A l’exception de Gigny, les ouvrages et documents consultés parlent rare­ment de Saint-Julien et des communes qui l’environnent. »

Pour autant, il ne fait aucun doute que les mêmes raisons qui font évoquer une implantation humaine très précoce dans la vallée, et la présence des vestiges de la voie romaine au nord comme au sud de notre village, valent également pour Saint Julien !

Il est donc tout à fait pertinent de s’en référer aux généralités historiques concernant Val Suran sur la page dédiée et concernant Le Suran et sa vallée (avec l’histoire de l’Épona de Loisia), la voie romaine, et l’Abbaye de Gigny.

Moyen-âge

Tapisserie de la Dame à la Licorne

[Faute d’une meilleure source (pour l’instant) nous nous contenterons de recopier les élements recueillis par Marius VEYRE (en italiques), en les assortissant de quelques commentaires explicatifs quand nécessaire (en vert)]

« En l’an 1191, le prieur Aymon de l’abbaye de Gigny passa un acte d’association avec Etienne II, comte vassal de Bourgogne, pour Morges, Lancette, Lains, Loyon, Chantria et autres lieux.

Six ans plus tard, en 1197, Etienne II fit bâtir une forteresse sur la partie la plus escarpée de ses terres, à environ mille cinq cent mètres au sud du Mont Loyon, au-dessus du hameau de la Rivière, (à proximité de l’actuel parc de la maison de retraite). Scs vassaux élevèrent des habitations autour du château et les enveloppèrent d’une muraille (donc l’actuel portail d’entrée de la Maison de retraite). Ce quartier fut appelé le Château et le Bourg-Dessus. Les populations dispersées dans la plaine vinrent chercher un refuge près de ce point fortifié, s’environnèrent aussi d’une ceinture de murailles et érigèrent une église châtelaine incorporée dans la deuxième en­ceinte des remparts et qu’ils placèrent sous le vocable de Saint-Julien (le porche de cette enceinte initiale de Saint Julien se trouvait donc en-dessous de l’église, au niveau de l’actuelle mairie). 

Cette nouvelle agrégation reçut le nom de Bourg de Saint-Julien. Les hameaux environnants s’étant installés dans le nouveau bourg, ne tardèrent pas à devenir déserts. Au XIVe siècle, ils n’éxistaient plus que de nom et un titre de 1227 mentionne déjà le bourg de Saint-Julien. On peut donc admettre que ce serait à la fin du XIIe et au début du XIIIe siècle que Saint-Julien prit naissance (en tant que tel) ».

Blason de la maison de Chalon

Blason de la maison de Châlon : « de gueules à la bande d’or »

Etienne II de Bourgogne transmit la seigneurie de Saint-Julien à Jean de Chalon, son fils, et pendant longtemps Saint-Julien a été le lieu préféré de la seigneurie des immenses propriétés de ce Jean de Chalon qui était le haut baron des deux Bourgognes, que l’on a surnommé l’antique et le sage ; car Saint-Julien est nommé dans le testament de ce prince, qui est daté du jour de Pâques fleuries de 1262, testament par lequel il disposait des terres de Rochcfort, de Saint-Julien, d’Orgelct et de Vcrnantois, en faveur des fils qu’il avait eus d’Isabelle de Courtenay, sa seconde femme.

Un document de 1284 écrit en espagnol, nous dit que Jean de Chalon reçut ses franchises et son organisation communale de Jean de Chalon, comte d’Auxerre et seigneur d’Orgelct qui mourut en 1309, et qui avait épousé en troisièmes noces Marguerite de Beaujeu, dame de Saint-Julien. En 1301, il avait fait construire un hôpital qui était desservi par des frères hospitaliers du Saint-Esprit de Besançon et qui portait le nom de « Refuge”.

Il est encore parlé de cet hôpital à l’occasion d’un legs que lui fit, le 25 août 1338, Marguerite de Beaujeu, dame de Saint-Julien, veuve de Jean de Chalon, comte d’Auxerre, dans un testament qui institue Jean de Chalon, leur fils, héritier universel de tous ses biens.

À la mort de Marguerite de Beaujeu, vers la fin de l’année 1338, Jean de Chalon II, comte d’Auxerre et de Tonnerre, petit-fils de Jean de Chalon 1er, sire de Rochefort, prit possession de la terre de son aïeule, mais elle resta peu de temps entre ses mains, car il fut tué à la bataille de Crécy en 1346. Alix de Bourgogne, fille de Renaud, comte de Montbéliard, sa veuve, en conserva la jouissance jusqu’en 1362, année de sa mort.

La seigneurie passa ensuite en 1365 à Tristan de Chalon ; en 1396 à Jean de Chalon, sire de Chatelbelin ; en 1406 à Louis de Chalon.

En 1407 et en 1413, le duc de Bourgogne ayant confisqué à son profit, tous les domaines du comte d’Auxerre au comté de Bourgogne, vendit cette terre, le 10 octobre 1415, à Jean de Chalon III, premier prince d’Orange, de la branche d’Arlay, ne s’en servant que le fief-lige et la souveraineté, avec la faculté de réachat.

Puis la seigneurie passa en 1417 à Philippe le Bon ; en 1435 à Philibert d’Andrevet ; en 1467 à Gilbert d’Andrevet, chambellan du duc de Savoie.

À partir de la Renaissance

Vers le milieu du XVe siècle, la situation de Saint-Julien se présentait donc ainsi : notre village était alors divisé en cinq partiesle Château, le Bourg-Dessus, le Bourg-Dessous, le Faubourg et la Rivière, parties que nous pouvons reconnaître encore aujourd’hui dans leur évolution, qui a souvent conservé la mémoire du passé (par exemple dans les noms de rues ou de lieux).

Le Château

« Sa position lui fournissait l’avantage d’une défense aisée et l’agrément des points de vue les plus variés et les plus pittoresques. Il se composait d’un donjon couvert en laves, derrière lequel étaient une citerne et un poteau soutenant le pont-levis jeté sur les fossés ; au-devant, un boule­vard rond, couvert de laves et percé de canonnières défendait la basse-cour. En 1533, on ajouta un grand corps de bâtiment à l’est du donjon. Il se com­posait de grandes pièces voûtées et de deux grosses tours aux angles. Toute la maçonnerie était faite de pierres de taille dont on trouve encore quelques- unes par-ci, par-là, près du portail d’entrée sur le chemin du Molard. La bassc-cour était entourée d’une haute muraille percée d’une porte avec pont-levis ; de chaque côté s’étendaient de longs bâtiments servant d’écuries, de remises, de greniers, etc. Une haute tour ronde, percée de meurtrières défendait l’angle sud-ouest. Ce château démantelé par les troupes de Henri IV en 1595, n’offrait plus que des masures en 1637, et fut rasé dans le cours du XVIIIe siècle. » (ce château, dont il ne reste aucun vestige, se trouvait dans l’actuel parc de la Maison de Retraite)

Le Bourg-Dessus

« Au sud du château, se groupaient un certain nombre de maisons féodales, occupées par les vassaux du seigneur, notamment par les familles de Charnod, de Montmoret, de Bussy, d’Arlay, de Toulongeon. Elles étaient environnées par un mur d’enceinte et un fossé, et formaient le Bourg-Dessus. C’est là que se trouvait le four banal. On communiquait du château et du Bourg-Dessous au Bourg-Dessus par une porte fortifiée, inféodée à la famille de Saint-Julien de Baleure. » (Le Bourg-Dessus correspond à l’emplacement actuel de la Maison de Retraite, limité au sud par son portail)

Le Bourg-Dessous

« Il se prolongeait depuis le Bourg-Dessus à l’église, et était environné de murailles défendues par des tours dispersées de distance en distance, et percées de trois portes, appelées porte Raliquet, au nord-est, porte de la Juine, au sud-ouest, et porte du clocher. Il renfermait les halles où se tenaient les foires et marchés et à un pillier desquelles était attaché le carcan, l’auditoire de la justice, et était habité par les bourgeois, les officiers de justice et les marchands. Le quartier réservé aux juifs portait le nom de rue des Lombards.

II y avait plusieurs maisons féodales défendues par des tours, qui appar­tenaient au XVIIIe siècle au chevalier Martinet, conseiller au parlement de Besançon, à l’abbé Champagne, au comte de Balay-Marigna et à la famille Bailly. Les murailles, les fossés, les tours et les portes, ont complètement dis­ paru. » (Le Bourg-Dessous correspond donc aux maisons bordant la rue Lezay-Marnésia, la rue de la Cotette et la rue Guillaumaud)

Le Faubourg

« On appelait le faubourg toutes les maisons qui se trouvaient en dehors et à l’extrémité méridionale du Bourg-Dessous, c’est-à-dire toutes celles situées à partir de l’église jusqu’à l’hôtel Jacquier. Ces maisons n’étaient que des chaumières en bois qu’on incendiait au moindre bruit de guerre. » (l’actuelle rue du Faubourg part de la place de la mairie et descend vers le sud en passant devant le garage Guyot)

La Rivière

« On appelait la Rivière-les-Saint-Julicn toutes les maisons qui se groupaient au pied du château sur les bords du Suran. C’est là que se trouvaient l’hôpital, les moulins, les foules à drap, les battoirs, les tanneries, la fromagerie et autres établissements industriels. Cette section avait des biens particuliers et un prud’homme ou échevin. Les grands chemins venant de Gigny, de Saint-Amour, de Cuiseaux, de Montfleur, traversaient ce quartier.

Quant aux maisons du Molard, au nombre de quatre ou cinq, elles étaient bâties sur la pente septentrionale de la colline, au nord du château. Elles ne remontent qu’aux XVe et XVIe siècles. »

Au cours des XVe et XVIe siècle, le territoire de Saint-Julien a subi bien des vicissitudes, et est passé de main en main au fil des héritages, des guerres d’influence ou guerres réelles qui se sont jouées entre familles nobles (le livre de Marius VEYRE en donne certains détails, finalement fastidieux et qui n’apportent pas d’information sur l’évolution du village et de ses habitants).

On peut toutefois évoquer la guerre de Dix ans (1636-1646), qui correspond aux épisodes comtois de la guerre de Trente ans, et pendant laquelle Lacuzon, personnage controversé, se serait souvent réfugié à Saint-Julien entre ses « coups de main » (bien que la page Wikipédia n’évoque à ce sujet que Montaigu et le château de Saint-Laurent-la-Roche, et une mythique grotte Lacuzon, revendiquée en plusieurs endroits différents, où aurait séjourné la Vouivre, qui aurait été sa protectrice, ce qui nous ramène à la légende déjà évoquée dans le site de Val Suran. Dans tous les cas, nous vous invitons vivement à visiter ces liens, qui apportent un grand nombre d’informations sur le passé tumultueux de notre région.

Le bilan provisoire qu’on peut faire de l’histoire de Saint-Julien au seuil du Grand Siècle, est bien mince :

  • les rares documents écrits dont on dispose concernent essentiellement des questions de propriété, de successions ou transmissions, de sujétions, …des familles nobles qui ont eu ce territoire en propriété.
  • l’habitat construit était principalement en bois et torchis couvert de chaumes, par nature fragiles et ne pouvant laisser de vestiges (sans parler des incendies volontaires ou non décrits ci-dessus)
  • les rares bâtiments en pierre (le château, les églises, la commanderie des Templiers, ont subi les aléas du temps, ont souvent été rasés, et il n’en reste souvent rien, ayant parfois servi de base à de nouvelles constructions, mais réduits le plus souvent à la mémoire d’un emplacement. La chapelle N.D. de pitié, Saint-JulienLa petite chapelle N.D. de Pitié (ci-contre), située au lieu-dit éponyme en bas de Saint-Julien, est ainsi le seul vestige de ce que fût l’hôpital du Saint-Esprit.

Par contre, la vie du peuple qui habitat ces lieux au fil des siècles, peut nous être rendue compréhensible par la permanence des modes de vie dépendant des lois simples de la nature, et restés en gros inchangés jusqu’aux débuts de la révolution industrielle.

Grotte Lacuzon du Hérisson (cc) Stéphanie BLYON

La grotte Lacuzon ou grotte de la Vouivre, sur le parcours des cascades du Hérisson
(cc) Stéphanie BLYON

Le tournant du Grand siècle et la révolution

Dessin Saint Julien vers 1750

Nous reprenons donc l’histoire de Saint-Julien au XVIIe siècle, toujours d’après Marius VEYRE (ci-contre), les événements marquants ayant été :

  • la mise sous séquestre des terres en 1678, qui a permis à la famille Lezay-Marnésia de les acquérir en 1733. Il y a alors eu solution de continuité entre une filiation nobliliaire médiévale et une simple acquisition de terres et de bâtiments.
  • la Révolution Française, qui a confirmé l’abolition des privilèges, avait transformé très temporairement le nom de Saint-Julien en Julien-le-Guerrier, et après laquelle, la restitution des terres aux Lezay-Marnesia n’a constitué qu’une confirmation de propriété.
  • Cette famille a eu ensuite une importance certaine dans la gestion du bâti, et en particulier dans la construction de l’hospice copie de photo du Chateau par Marius VEYRE 1960et d’une maison, sur la route du Molard, appelée pompeusement château (on en verrait encore les vestiges de la tour carrée qui la dominait, d’après M. Veyre : à confirmer), maison dans laquelle elle habitait.
  • Cette histoire ayant pris fin avec la mort sans descendance, en 1884 du dernier des Lezay-Marnésia et l’ouverture de l’hospice, tenu par des religieuses jusque dans les années 1980 avant qu’elles ne finissent par être remplacées par une structure de santé publique : l’actuelle maison de retraite. (On choisit volontairement de ne pas utiliser l’horrible acronyme abscons et contenant le dégradant « dépendants  », bien peu respectueux de nos aînés.)

« Après le décès de Ferdinand de la Baume, en 1678, les terres de Saint- Julien, de Présilly, de Courlaoux, furent mises en décret, et, jusqu’en 1733, sous le séquestre. C’est alors que le chevalier Claude-Hubert de Lezay, pre­mier marquis de Marnésia (1666-1747) dont les terres de Marnésia, Moutonne, Béffia, Rothonay et Vernantois, avaient été par ordre du roi Louis XV et par lettres de décembre 1721 enregistrées à Dole, érigées en marquisat, il acquit de Melchior-Esprit de la Baume, chevalier, comte de Mont-Revel, les trois domaines saisis, par acte notarié, à Paris, le 14 juin 1733.

Deux plans des terres et des habitations de Saint-Julien dressés en 1750 et 1758, appartenant aux archives de l’hospice, nous révèlent les emplacements exacts de l’ancien château-fort, de l’église de Loyon, et de la chapelle templière de Saint-Maurice. Sur ces plans, ne figurent ni l’hospice actuel, ni les habita­tions des quartiers extérieurs.

Il est donc à peu près certain que ce n’est qu’à partir de 1773, après avoir quitté son évêché d’Evreux et choisi Saint-Julien pour retraite, que Monseigneur Louis-Albert de Lezay-Marnésia fit construire le château actuel (hospice). C’est aussi lui qui, en 1784, fit reprendre par les fondements la chapelle située à droite du chœur de l’église et qui, depuis, est appelée ”chapelle du château” Achevée l’année suivante, elle fut bénie le 30 juillet 1785. »

La Révolution dans le canton de Saint-Julien (Jura)

[document aimablement mis à disposition par Lucie MULATIER, et placé sous licence Creative Commons BY-NC-SA]

Pour contredire ce qui précède concernant la pauvreté de la documentation historique sur Saint-Julien, nous avons le plaisir de vous proposer un document exceptionnel : un mémoire de maîtrise d’histoire de plus de deux-cents pages,  consacré à la Révolution Française de 1789 telle qu’elle a été vécue dans l’ancien canton de Saint-Julien.

Rien que les quatorze pages consacrées aux sources et les treize pages consacrées à la bibliographie constituent, en soi, une mine d’informations extraordinaire :

  • les sources sont essentiellement constituées de documents issus des Archives départementales du Jura, à Lons-le-Saunier,  dont les références précises faciliteront toutes les recherches ultérieures  (on rappelle que, désormais, un grand nombre d’archives sont numérisées et accessibles, en ligne, cliquez sur le lien pour y accéder),
  • la bibliographie, au-delà du sérieux dont elle atteste pour ce travail, fournit de très nombreuses pistes pour étendre ces recherches à d’autres périodes.

Car une des limites de ce travail est temporelle : il se consacre (volontairement) aux dix années de la Révolution, de 1789 à 1799. Il ne tient donc qu’à d’autres bonnes volontés de le compléter pour les périodes antérieures et postérieures, en disposant désormais d’une base de documentation sérieuse.

Je souhaite attirer l’attention des lecteurs sur l’éventail très large des thèmes abordés par Lucie MULATIER, dont un grand nombre concernent la vie des habitants de base, « la vie des gens », qui est précisément le thème principal et mémoriel de ce chapitre.

Et je ne saurais finir sans adresser tous nos plus sincères remerciements à l’auteure, dans sa démarche de mise à disposition de ce travail pour tous. J’en profite pour rappeler les contraintes de la mise à disposition sous licence Creative Commons BY-NC-SA : une éventuelle réutilisation en est libre de droits sous réserves :

  • de maintenir l’attribution de la paternité de l’œuvre à Lucie MULATIER,
  • que cette utilisation ne soit pas commerciale,
  • et que d’éventuels partages ultérieurs fassent l’objet des mêmes contraintes.

Pour plus de détails sur les licences Creative Commons, cliquez sur ce lien.

Couverture du mémoire de Lucie MULATIER

Cliquez sur l’image pour accéder à ce pdf de 213 pages dans un nouvel onglet. (cc) Lucie MULATIER

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